« Ce n‘est pas parce que je suis paranoïaque qu’ils ne sont pas tous après moi. » (Pierre Desproges)

Un enfant de deux ans et demi vous demande un carré de chocolat alors qu’il est déjà en train de manger une danette au chocolat pour le dessert.
En prenant un air assuré, opposez-lui l’adage : « Chocolat sur chocolat ne vaut ».
Juridiquement il sera bien embêté pour répliquer.

«En chaque vieux, il y a un jeune qui se demande ce qui s’est passé.» (Groucho Marx)

Vivre à Saintes comporte un seul vrai inconvénient : les inondations.
A chaque reportage-télé, le téléphone sonne et votre tante Ursula vous demande  si vous êtes inondé.
Alors que vous n’avez jamais été en zone inondable.

Ne faut-il pas une sacrée dose d’idéologie pour ne pas pouvoir seulement envisager que le tableau réunissant Aya Nakamura et la Garde Républicaine était, lors de la cérémonie d’ouverture des JO, juste drôle et réussi?

Les JO 2024 ont ringardisé le foot.
Le foot dérive dans la violence des supporters, la financiarisation à tout crin, l’individualisation des objectifs dans un sport pourtant « collectif ».
Les JO ont exalté le dépassement de soi, l’enthousiasme et la fraternité.
Ca aura au moins duré deux belles semaines.

« Le mariage est la cause principale de divorce.» (Oscar Wilde).

On le sent bien : le 21ème siècle est celui de la nuance, du débat contradictoire et de l’écoute, pas du tout celui du buzz, des rageux et des idéologies préconçues. Et ça c’est trop cool.

 

« L’ennemi est bête : il croit que c’est nous l’ennemi, alors que c’est lui. J’en ris encore. » (Pierre Desproges)